mardi 21 septembre 2010
Une bien triste nouvelle
lundi 20 septembre 2010
carte sonore n 9
Cette fois ci c'est à la friche !
bonne balade et cliquez sur le lien http://cartesonore.blogspot.com
émilie
dimanche 12 septembre 2010
vendredi 10 septembre 2010
Septembre de la photo
Hier, par une belle pluie ensoleillée, j’ai furtivement assisté à deux vernissages, dans le cadre de “Septembre de la photographie”.
Le premier, à la BF15, (quai de la Pêcherie) présente le travail de Peter Downsbrough, très minimaliste et conceptuel. De la ligne en veux-tu en voilà !
Dès l’entrée de l’expo, une installation des plus épurée. Une barre fine sur toute la hauteur de l’espace répond à des lignes tracées au sol et aux murs. De la ligne, donc et beaucoup de vide autour…
Ensuite, une salle avec une vidéo que je n’ai pas regardée (je vous l’ai dit, j’ai assisté « furtivement » aux vernissages), puis une salle présentant une série de photos. (Et oui, c’est « Septembre de la photographie » !)
Pas mal. Très graphique, en noir et blanc, (ah oui, j’ai oublié de préciser que tout est en noir et blanc dans cette expo), avec un jeux de lignes et d’espaces. Espaces essentiellement urbains.
Bref, sobre et pas désagréable.
Seconde étape, la Fondation Bullukian (place Bellecour). Là, plutôt du portrait ! Et en couleur, Madâme.
Bon, au départ, je suis arrivé en plein discours officiel. C’était un peu l'inauguration de « Septembre de la photographie ». On s’est même fait gronder parce que dans la cour, on chuchotait trop fort !
S’ensuivit le buffet dans le jardin, très drôle vu de la cour. Cette dernière étant séparée du dit jardin par une grille, celui-ci prenait des airs quasi "zoologiques", donnant à voir (plus qu'à boire) un attroupement des mammifères en costard-cravatte se jetant goulûment sur leur repas, que du bonheur…
Pardon, je m'égare. Du portrait disais-je !
La fondation Bullukian présente les œuvres de l’artiste Jeffrey Wolin qui met en parallèle les portraits et les histoires des vétérans américains et vietnamiens. De la photo classique dans des mises en scènes pas forcément si anodines que cela. Les costumes des protagonistes à la limite du kitch (tiens, les Village People !?), loin de porter à sourire, semblent souligner l’atmosphère dramatique, presque pathétique du vécu des ces personnages aux airs tristes et désabusés. Usés. Des images sans doute touchantes pour celui qui prend le temps de se pencher sur les textes qui les accompagnent.
Objectivement, j’ai survolé ces deux expos., et bien qu'à mon avis, il s’agisse dans ce cas de deux rendez-vous d’Art « officiellement » Contemporain, je pense qu'elles sont à voir pour ceux qui aiment ça. Et puis bon, la curiosité n'est pas un qu'un vilain défaut.
Sinon, « Septembre de la photographie », c’est de l’Art Contemporain plutôt accessible et une manifestation à suivre et à soutenir, à travers 25 lieux et 38 artistes. Programme sur http://www.9ph.fr.
mercredi 8 septembre 2010
jeudi 2 septembre 2010
Où va la France ?!
Cet été, j’ai pu vivre une expérience que je ne pensais jamais avoir à vivre.
Je suis, comme tout bon français qui a travaillé durement toute l’année, parti prendre des vacances bien méritées.
J’avais choisi de partir me reposer dans une charmante région de notre beau pays sans me douter un seul instant que j’eus à côtoyer, un de ces campements de fortunes dont l’actualité nous rabâche les oreilles, faits d’habitations précaires, souvent en toile, envahi de caravanes et autres cabanons et abritant des populations venues pour certaines de l’étranger.
Bien que cela puisse paraître politiquement incorrecte, j’ai trouvé ces gens bruyants, indécents, préparant des repas parfois à la limite de l’hygiène, à même le sol, d’un laisser-aller vestimentaire assez choquant… Bref, une horde de va-nu-pieds dont on se demande parfois s’ils se lavent !
Des enfants n’allant pas à l’école, des familles désoeuvrées faisant la queue aux rares points d’eau, un manque de confort à la limite du tolérable, promiscuité malsaine entre cousins, sans compter les chiens, les sacs de détritus jonchant çà et là ou les sous-vêtements séchant à la vue de tous !
Tout ce beau monde vivant dans une oisiveté presque indécente en ces temps de crise, certains ayant l’outrecuidance de conduire de manière ostentatoire des voitures plutôt luxueuses, que nous autres n’arriverons jamais à nous offrir. Je dis ça, j’dis rien…
Nombre de « gauchistes » me parleront de respect de l’autre, de tolérance face à des modes de vie différents, voire d’humanité… Mais ces gens-là n’ont à mon avis rien d’humain !
Le comble, c’est qu’il semblerait que les autorités, par laxisme, tolèrent ce type d’occupation ! Encouragées en cela par certaines municipalités, au détriment certain de l'ordre établi et de la sécurité de leurs administrés, qui une fois de plus vivent ces migrations comme une menace vis à vis de leur culture et leurs valeurs. Car ces populations, une fois installées se sentent chez elles ! Elles nous imposent sans gêne leur rythme de vie.
